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Le blog politique
9 mars 2006

CNE,CPE :Non à la précarité,oui à la flexsécurité !...

    Dominique de Villepin,le Bill Clinton de la politique française !...Comme l'ex président des Etats-Unis,le Premier Ministre,grâce à son charme,réussit à nous faire avaler les pilules les plus amères...Mettez Nicolas Sarkozy à Matignon,et vous aurez immédiatement 1000000 de personnes dans les rues !...Pour une fois,Chirac a eu du nez !...

    Depuis neuf mois (sauf en Janvier...),le chômage entame une décrue.Enfin une bonne nouvelle !.Mais en réalité,ce sont les statistiques qui baissent !...Ce n'est pas la même chose...L'ANPE procède à des dizaines de milliers de radiations,le nombre de rmistes explose,l'Etat finance les emplois aidés,le CNE dissimule des effets d'aubaine (à 70 %...) et la population active diminue...Ce qui relativise la performance...

    Fort du "succès " du Contrat Nouvelle Embauche,Villepin souhaite l'étendre à tous les salariés.Objectif :Fluidifier le marché du travail,répondant ainsi à une vieille demande du MEDEF...

    Je ne suis pas hostile à une dose de flexibilité,mais à condition que les salariés obtiennent la sécurité...Au Danemark,un chômeur touche 90 % de son salaire pendant quatre ans...Or,avec le CNE,un jeune peut être viré du jour au lendemain,sans motif et avec une faible allocation !...Inacceptable !.

    Le Patronat,acquis aux thèses ultralibérales,veut revenir au dix-neuvième siècle et d'ailleurs,ne s'en cache pas...Récemment,j'écoutai Sophie de Menthon qui assimile son personnel à du " stock "...Une vision esclavagiste !.

    Cette précarisation à outrance risque de se retourner contre les entreprises !.Les français sont aussi des consommateurs...Avec un avenir incertain,ils hésiteront à acheter une maison ou une voiture...En outre,se pose un autre problème :L'implication du salarié dans l'entreprise !.Pourquoi bosser comme un dingue si au final je ne conserve pas mon job ?.Bref,ce que l'entreprise gagne en flexibilité,elle va le perdre en productivité...

    Par ailleurs,les patrons ne montrent guère l'exemple !.A l'instar de Laurence Parisot,ils entonnent des hymnes à la précarité,alors que dans le même temps,ils se gavent aux stock-options et aux parachutes en or !.Ce double discours choque profondément nos compatriotes...

    Evidemment,les experts citent la Grande-Bretagne et ses 5 % de chômeurs...Mais là bas,2300000 britanniques recoivent une pension d'invalidité et donc sortent des statistiques...Mefiez-vous des " modèles "...

    Flexibiliser le travail,baisser les impôts et les charges n'empêcheront pas la Chine de détruire nos emplois !.Bien au contraire...Si la France veut relever le défi asiatique,elle doit investir dans la recherche,l'enseignement supérieur et les infrastructures !.Et au niveau communautaire,n'en déplaise à la Commission de Bruxelles,hostile à une politique industrielle ( "concurrence oblige "),l'UE doit créer des champions européens !...

    Dominique de Villepin aurait dû réfléchir à deux fois avant de lancer le CNE et le CPE...En effet,ces dispositifs donnent une image monstrueuse du capitalisme (d'ailleurs,Henri Proglio,PDG de Véolia a un pondu un rapport qui prone le CDI !...) et profite à l'extrême Gauche...Les ultralibéraux ouvrent un grand boulevard à Olivier Besancenot...Le leader de la LCR va casser la baraque en 2007...Et cela à cause d'une jeunesse sans espoir et sans projet !...

   

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Commentaires
J
FEDERATION DES VICTIMES DE LA JUSTICE ET ANNEXES !<br /> (Déclarée au journal officiel le 19 mai 1998 – Association flottante de type horizontal.)<br /> <br /> Une affaire de gros sous : Le plus grand voleur de France est impliqué dans cette affaire, Chirac et sa clique de malfaiteurs.<br /> Chirac le protecteur des voyous de la ripouxblik, « le voleur de mobylette est en prison, les voleurs de l’Etat ne sont pas punis », Guy Drut, Tiberi, Pandraud, Pérol, Poullain, Ciolina, le cousin à Villepin qui a volé Madame Portehaut etc.etc…la liste est longue.<br /> <br /> L’affaire de gros sous qui me concerne.<br /> Chirac est mêlé dans toutes les affaires qui puent, la mienne bien entendu, il a pour complice d’anciens flics à la retraite, qui se permettent toutes les exactions en toute impunité, se font passer pour des flics en service. Il est mentionné sur une citation du tribunal « Suire et Guillot, personnes dépositaire de l’autorité publique, en l’espèce policier, dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice des ses fonctions. »<br /> J’ai déposé plainte contre ces individus, pour Usurpation de fonctions. Punis par le Code pénal Article 433-12 et 433-14 l’article 433-16. Faux en écriture.<br /> Mon voyou de fils Eric Goguy qui a volé la fortune de mon père, avec l’aide des personnes cités, lire la vérité à nu qui est à la suite de cet exposé, j’ai les preuves de ce que j’avance. Bénéficie d’une protection en béton il est employé LAFARGE au Japon. <br /> <br /> FEDERATION DES VICTIMES DE LA JUSTICE ET ANNEXES !<br /> (Déclarée au journal officiel le 19 mai 1998 – Association flottante de type horizontal.)<br /> <br /> St-Varent 23 juin 06.<br /> <br /> Monsieur le Directeur.<br /> Des Ciments Lafarge.<br /> 61, rue des Belles Feuilles.<br /> 75782 Paris Cedex 16.<br /> Jacques Goguy.<br /> 2, rue du Fief de la Croix.<br /> 79330 St-Varent.<br /> Tél. 05 49 67 68 03.<br /> E mail jacques.goguy@tiscali.fr.<br /> Monsieur le Directeur Général.<br /> Les membres du conseil d’administration.<br /> <br /> Monsieur,<br /> <br /> Je vous ai adressé plusieurs courriers, qui sont restés sans réponse, je pense que vous avez oublié les bonnes manières.<br /> <br /> Comme de nombreux directeurs vous avez été nommé par le système. Des politiques corrompus. Le chef Chirac, qui gérait mes biens, avec l’assentiment de mon ex beau-frère Brunet, le handicapé du travail. <br /> <br /> Etant incapable de gérer mes affaires, ses individus nommaient des directeurs à leur solde, et volaient des bénéfices de ces usines. « Les fameux fonds secrets à Chirac. »<br /> <br /> Mon voyou de fils complice de ces crapules, a spolié le capital qui était en action dans ces usines. Pour cette raison ce malfaiteur bénéficie de protection politique.<br /> <br /> Marie France Garaud avait dit de Chirac « qu’il était de marbre dont on fait les statues. En réalité il est de faïence dont on fait les bidets. » Je dirais plus « dont on fait les cuvettes de chiotte, je m’en serre tous les matins. <br /> <br /> Dans l’attente de votre réponse, avant que je diffuse cette lettre dans les Ambassades du monde entier.<br /> <br /> Salutation.<br /> Le secrétaire national de la fédération.<br /> Jacques Goguy.<br /> <br /> <br /> <br /> La vérité à nu : le droit de voler sans impunité !<br /> <br /> La plus grosse escroquerie de France. Spolier par d'ignominieux criminels.<br /> <br /> Cette affaire a débuté en 1961, quand je me suis marié avec la prostitué de Thouars, mon ex-femme Brunet. J’avais 20 ans et logeais chez Jézabel, qui n’a pas tardé à se trouver dans mon lit.<br /> Je me suis marié le 4 avril 1961 avec la grue, étant orphelin mon Oncle André Goguy était mon tuteur. Ma mère est décédée le 19 janvier 1956.<br /> La famille Brunet était très satisfaite de placer la catin, surtout que ma famille Allemande était très fortunée, les Brunet avaient connaissance de ce patrimoine.<br /> Ça intéressait son bon à rien de frère Robert Brunet, l’oisif, qui avait épousé une vendeuse employée dans une pharmacie de Thouars, ce qui a dû rendre quelques services à cette famille d’escroc. « De temps à autre ils devaient me doper avec des produits. »<br /> À 20 ans sans famille, on a le droit d’être crédule, et penser que les gens sont vertueux.<br /> Je me rappelle de tout, la mère de cette mégère, avait dit en ma présence « tu ne va pas lui laisser tout ça, tu le donnes à ton frère ‘le désœuvré’, je n’avais pas très bien saisi le propos, j’étais un peu candide.<br /> Peu de temps après cette conversation, entouré de charme, et de paroles engageantes, la bique, me demande de signer une page blanche, que j’ai bêtement signé, sans réfléchir, j’ai demandé malgré tout à quoi ma signature allait servir, elle me dit c’est pour mon frère, depuis je connais la suite.<br /> Le traîne-savates s’était investi « administrateur » de mes biens.<br /> Souvenir de mémoire.<br /> Je logeais au Capucin dans les années 1970, un jour, je demande s'il y avait du courrier, on me répond que oui, c’était une lettre d’Allemagne, que l’on m’avait pas donné bien sûr, cela devait correspondre avec le décès de ma grand-mère, le 3 février 1971, Marie Elisabeth Müller né Abmus le 14 novembre 1889, à Märkisch Friedland, Krs Deutsch Krone.<br /> Elle ne pouvait pas me donner cette lettre, car j’aurais découvert la vérité, sur ma famille.<br /> Et démasqué son truand de frère en situation illégale dans mes affaires. <br /> Ces margoulins, m’ont privé de ma famille allemande. Occulté mes racines pour vivre de profits malhonnêtes. Déplorable, infâme, méprisable famille. <br /> Je divorce le 3 juillet 1995. Ce ne devait pas être prévu au programme.<br /> Comme je fréquentais une équipe d’arsouilles.<br /> Brunet a échafaudé un complot machiavélique, pour spolier cette fortune. Il faut vraiment être un vicieux pervers, pour monter une aussi sale entreprise, se met d’accord avec Guillot, que je côtoyais journellement, un individu aussi dépravé que Brunet, le fric ça fait faire bien des choses.<br /> Guillot et son équipe me conditionnent en douce à mon insu, avec des produits psycho actifs, qu’ils mettaient dans mon verre, mélangé avec le vin l’effet est plus extrême, j’étais complètement déphasé, avec des pertes de mémoire, des troubles visuels, des étourdissements, des brûlures d’estomac, je grossissais anormalement.<br /> Il m’arrivait d’avoir un voile devant les yeux, j’avais du mal à contrôler certaines impulsions, j’aurai fait n’importe quoi, même commettre l’irréparable. « J’étais vraiment sous leur contrôle. »<br /> Les voyous avaient tout prévu.<br /> Etant bien conditionné, le 4 mars 1999, Guillot, et Nicolai, me tenaient par les épaules pour me conduire chez Tabourier, notaire à Thouars, dans mon brouillard, j’avais remarqué la présence de Brunet, ça m’avait intrigué « depuis je connais la raison de sa présence » j’ai signé des documents comme j’aurais fait n’importe quoi. J’étais dans l’impossibilité de marcher correctement, Guillot, et Nicolai, me conduisent à ma voiture elle était garé sur la place en face de chez le notaire, les vauriens, sont retournés à l’étude, j’ai dormi au moins une heure ou deux dans ma voiture, je suis reparti chez moi j’avais tout oublié.<br /> Je continuais à fréquenté mes bourreaux, qui me droguaient journellement, et me suis aperçu de leur manœuvre un soir, à la renaissance société, ou les gens jouent aux cartes, et picolent, j’étais avec Boutet, et Courtel, a consommer une bouteille vin, je me suis aperçu que Boutet, avait mis quelque chose dans mon verre, me dit c’est rien, comme j’étais sous influence de leur produits mon cerveau ne fonctionnait pas normalement, me fait signer des papiers, que je signe ne maîtrisant plus mes actes, je lui demande ce qu’il m’avais fait signer, me dit c’est pour ma voiture.<br /> « J’ai plus de détails concernant cette affaire. »<br /> J’ai coupé les ponts avec ces individus, et déposé plainte contre Boutet et Courtel le 26 juillet 1999, à la gendarmerie de St-Varent. Dans cette plainte, je ne parle pas d’héritage, ce qui prouve que j’étais drogué, que le notaire ment, voir enquête de police du commandant Casseling.<br /> Plainte qui a été classée sans suite le 27 avril 2000.<br /> L’adjudant de gendarmerie, qui m’avait convoqué, me montre un important dossier, comme je n’étais pas remis du traitement des malfaiteurs, je n’ai pas demandé des précisions sur ce dossier, ils s’agissent du dossier n 99 002 064. L’adjudant connaît la vérité, quand j’ai déposé ma plainte du 26 juillet il m’avait dit votre femme n’as pas touché un gros héritage. Comme je n’étais pas dans mon état normal, je n’avais pas bien compris, je pensais surtout à l’affaire Boutet, Courtel.<br /> Cette affaire me préoccupait toujours.<br /> J’ai découvert la vérité le 19 août 2000, en regardant l’émission « chasseurs d’héritier » sur TF1. <br /> Cela a créé un déclic dans ma mémoire.<br /> J’avais invité mon oncle André Goguy, en juin 1998 lors de ce repas, il m’avait parlé de mes origines, que mon père s’appelait Müller, qu’il avait une fortune dont j’étais l’héritier, le testament se trouvait à Lille.<br /> Bizarrement mon oncle, qui était en bonne santé en 1998, décède en 1999, d’une perforation des intestins « mon oncle était un témoin gênant. »<br /> Je dépose plainte le 19 août 2000, à la gendarmerie de St-Varent, pour spoliation de biens.<br /> Plainte classée sans suite par le tribunal de Bressuire.<br /> Nouvelle plainte retenue par le parquet de Bressuire, le 25 septembre 2002 avec consignation de 1500.00 euros.<br /> Le juge Frassati, chargé de ce dossier n’a rien fait pour la recherche de la vérité, la seule chose qu’il a faite me proposer un examen psychiatrique, que j’ai accepté bêtement, on m’a reconnu irresponsable, les procédures de justice sont insondables, devant la gravité des faits, l’urgence était de faire une enquête sérieuse, auprès des impôts, des banques etc... Non, la victime doit être un malade qu’il faut isoler, c’est grave…<br /> La fortune de ma famille Allemande était en action dans des usines françaises, qui ont fermé suite aux retrais de celle-ci, Cellatex la première suivie d’Adelshoffen, Job, Bata, Marks & Spencer, Sollac, Cokeries, Samsonite, Lu de Calais, trois usines à Soisson, Moulinex, Métaleurop et d’autres…<br /> Si ce magistrat avait bien fait son travail, l’hécatombe des fermetures d’usines aurait été moindre.<br /> Moins misère pour les employés de ces entreprises, il y a eu des suicides suite à ces pertes d’emplois, la presse n’a pas fait état de ces malheurs.<br /> Ordonnance de non-lieu le 27 juillet 2004.<br /> Je fais appel de cette ordonnance.<br /> Un peu d’historique.<br /> Affaire sans risque disait Guillot, à Nicolai ; il a échoué, pour plusieurs raisons, je n’ai plus fréquenté ces créatures, ce qui m’a sauvé, soit je serais mort, où en prison, peut être chez les fous, ils m’auraient fait faire un mauvais coup, ce sont des ordures.<br /> Ma santé s’est amélioré, je me suis rappelé des souvenirs d’enfance, de mon père qui m’avait appris à compter en Allemand, les mots qu’un gamin de mon âge apprend en français, je les aie appris en Allemand. La dernière fois qu’il est venu me voir, il avait dit à ma mère qu’il m’avait reconnu à Airvault, que moi son fils « je ne manquerais de rien » ce qui n’a pas été le cas. <br /> L’argent fait des envieux surtout quand l’affaire est énorme. « Ce que disait Guillot lors de repas quand il parlait à Nicolai, comme si je n’existais pas, une affaire énorme, et plus l’affaire est grosse plus elle est facile à cacher, il pouvait s’acheter des silences, le plus beau coup de sa vie, haïssable individu corrupteur criminel, la plus exécrable des crapules. »<br /> Je me rappelle que mon père est décédé en 1945, qu’un membre de sa famille avait pris son identité.<br /> Je fais une enquête et retrouve trace de cette personne, qui était employé au Consulat Allemand, de Lille.<br /> Le Müller, en question est décédé le 8 juillet 1992 à Lille, incinéré, ses cendres ont été transportées à Berlin, pour les Allemand il est toujours vivant, je peux en donner la preuve. Lettre du 14 mars 2002. De mon avocate Sybill Hardt, de Berlin ci-jointe.<br /> Sa deuxième épouse Müller, vit toujours 10 rue du Bazinghien à Lille, cette famille à toujours été locataires, dans un logement vétuste, sans meubles ou objets de valeur.<br /> Je connais sa dernière épouse d’origine Marocaine, une personne très aimable qui m’a très bien reçu, marié à Kurt Richard Frank Müller, le 29 juillet 1981 au Danemark, son mari n’a jamais été aviateur.<br /> À la différence de mon père qui était aviateur dans la 8 m compagnie de Flieger, suite à une maladie, il décède le 28 janvier 1945 sous le nom de mon grand-père. Voir acte joint. <br /> Pour cette raison il y a deux dates de naissance, et de décès de mon grand-père Adolf Müller.<br /> Un acte né le 7 mars 1886 à Maltsch, serait décédé le 28 janvier 1945 à Berlin.<br /> Le deuxième né le 7 juin 1886 à Maltsch décédé le 5 mars 1942 à Leipzig. J’ai l’acte de décès. Je n’ai pas son acte de naissance.<br /> Je peux également le prouver, j’ai ses documents, que m’a transmis mon avocat de Berlin Sybill Hardt.<br /> Quand le père de la personne de Lille est décédé, il était dans le camp de concentrations d’Auschwitz Birkenau.<br /> Mon père Kurt Müller né le 27 mars 1920 à Berlin, son acte de naissance est trafiqué il y a deux écritures différentes sur cet acte. J’ai ce document. Ci-joint.<br /> Avec l’acte de décès du Müller de Lille, j’ai fais une demande au ‘fichier central des dispositions de dernières volontés’ il y a bien un acte Müller de déposé chez des notaires au 99, rue nationale le 12/07/1985.<br /> Les notaires n’ont jamais voulu me donner ce document, mieux ils n’avaient rien concernant cette famille.<br /> J’ai sollicité le service d’un huissier de Lille Jacques Geesen, le 24 avril 2003 pour une Sommation Interpellative, chez les notaires. Il a été répondu qu’il s’agissait d’une donation au dernier vivant, qu’il devait remettre à l’huissier, je n’ai toujours pas ce document.<br /> Lettre du 14 mai 2003 des notaires à Maître Geesen.<br /> « À ce jour je n’ai reçu ni acte de décès, ni information concernant la date et le lieu de son décès. » Un mort inconnu, c’est moi qui ai fourni l’acte de décès.<br /> Je contact un avocat de Roubaix Maître Duthoit, qui a abandonné le parti le 25 septembre 2003, on peut s’interroger sur ce désistement.<br /> Lettre des notaires de Lille du 28 août 2003, il est mentionné « A titre confidentiel, je vous informe qu’à ma connaissance, la succession de Monsieur Kurt Müller ne comporte aucun actif. » Il est mentionné une succession, pas d’une donation au dernier vivant. Qu’il y est plus d’actif, je peux le comprendre, les escrocs ce sont servis. J’ai tous ces documents.<br /> Je ne suis pas du genre à abandonner la partie.<br /> Devant mon insistance, le tribunal de Bressuire ordonne une enquête au commandant de police de Thouars, qui partait à la retraite, les deux mois suivants, il avait quinze jours de congés à prendre. Une enquête sérieuse en perspective ?<br /> Le commandant Casseling est un intime de Suire, qui est l’organisateur de cette escroquerie.<br /> Son enquête me permet de prouver que le notaire de Thouars ment, et par la même occasion que j’étais sous influence de produits. Je parle de cette spoliation dans ma plainte du 2 avril 2002, pas dans ma plainte du 26 juillet 1999.<br /> Le notaire avait déposé plainte contre mes écrits sur Internet au TGI de Bressuire.<br /> Le tribunal de Bressuire me condamne le 6 décembre 05.<br /> Je fais appel du jugement civil et pénal. Bizarrement le notaire ne figure pas en appel ?<br /> J’ai envoyé une lettre en recommandé le 14 avril au notaire pour lui demander la raison de son désistement, pas de réponse ?<br /> Reste deux organisateurs de cette spoliation : Suire, et Guillot en appel. Il est mentionné « personnes dépositaires de l’autorité public. » Ils sont à la retraire, faux en écriture, et usurpation de fonction punis par la loi art 433-12 et 433-13. Voir pièces jointes.<br /> Suire, ancien contrôleur de la police, Guillot, ancien commandant de police.<br /> Je peux prouver que Suire est un menteur, lettre de Suire du 8 décembre 2004, adressé au Procureur de Bressuire, il est mentionné « Je n’ai jamais entretenu une quelconque relation avec ce personnage, qui a peut-être été suggestionné etc.… » Suire est un menteur, je suis allé le voir le 26 juillet 1999, pour lui demander conseil au sujet ma plainte, et des dispositions à prendre, je pensais que Boutet m’avait mis caution pour un prêt. <br /> J’avais signé des documents étant inconscient, par des individus qui m’avaient drogué.<br /> Me donne rendez-vous le vendredi suivant sur le marché de Thouars, Suire a écrit sur le double de ma plainte du 26 juillet 1999, dans sa partie basse. J’ai ce document.<br /> Il m’avait dit. « Je m’en occupe. » Pas de nouvelle.<br /> J’appelle Suire en septembre 1999, pour demander si mon affaire progressait réponse « Je suis à la retraite, je ne veux pas m’emmerder avec ça ! » C’est curieux cette personne, que je prenais pour un ami. J’étais allé le voir quand il était à la Préfecture de police de Paris, je connaissais également son chauffeur. <br /> Le 24 août 2000, je retourne voir Suire à St-Jouin de Marnes, pour lui dire que j’avais découvert la vérité, attitude bizarre de cette personne. Quand je lui parle de Guillot le ripou, ça l’avait contrarié ; me dit c’est grave de dire que c’est un ripou, idem pour le notaire de Thouars, en finalité me déconseille d’expédier un courrier concernant cette escroquerie, et rajoute tu n’as pas eu de problème sur ton compte en banque, on ne t’a rien retiré, laisse tomber, tu ne savais même pas ? Et tu es au courant de rien, au sujet de cet héritage. Ma réponse je veux tirer cette affaire au claire. « J’ai commencé à douter de Suire. »<br /> Le 2 novembre 2001, je passe à St-Jouin de Marnes, j’aperçois Suire qui était sur la place, j’arrête ma voiture, pour lui demander s’il avait reçu mon courrier du 21 septembre 2000 sa réponse, oui. Me dit si j’avais reçu sa lettre, je l’attends toujours.<br /> Un soir je suis passé voir Suire, disons que j’étais un peu remonté contre cet individu, son épouse était dehors, je demande à voir son mari, m’invite à entrée, je refuse ce que j’avais à lui dire, allait sûrement faire des vagues. Me dis-- je l’appelle. Suire arrive avec son chapeau visé sur la tête, me serre la main, et demande si je vais bien, je lui répond nettement mieux depuis que l’on me drogue plus, que mes neurones étaient bien en places, et que je me rappelais de tout, que je connaissais l’organisateur de cette spoliation, me demande le nom de cette personne, je lui répond que c’était lui, pousse sa crise, me dit, je vais m’occuper de ton cas, je lui répond que j’allais également m’occuper du siens, qu’il se présentait aux élections de la commune dans le but d’être le maire. Qu’à sa place, je ne me présenterais pas. Il a du mal comprendre.<br /> Enquête sur les élections de St-Jouin de Marnes.<br /> Liste Suire « Union et Concorde. »<br /> La veille des élections, il manquait deux personnes pour boucler sa liste.<br /> Suire, est allé voir Monsieur Guy Bigot, lui fait du chantage pour qu’il soit sur sa liste,( il avait fait entrer son fils dans la police).<br /> La deuxième personne Madame Jacqueline Jouvin, retraité de 80 ans, Suire la mis sur sa liste sans lui demander son avis ?<br /> Avant les élections, Suire, fait du porte-à-porte dans la commune, avec distribution de bouteilles de vin, (ça ressemble à de la corruption.)<br /> Je fais une pub à Suire, dans la commune.<br /> Suire, n’a pas été élu conseiller municipal, il lui manquait une voix, il a fait compter 3 fois manquait toujours une voix, il insulte le maire, lui dit que c’était « un bon à rien » le maire a un avantage sur Suire, c’est un honnête homme, le dépouillement c’est terminé à 3 heures.<br /> Suire, fait annuler les élections.<br /> Fait deux tracts, 1 une lettre qu’il avait adressé au maire pour être sur sa liste, le maire a refusé avec raison.<br /> Deuxième le 16 août 2001, Suire, annonce qu’il ne se présente pas. Cet individu devrait payer les frais de cette élection.<br /> Le vendredi 7 février 2003, je vais prendre un verre avec un ami au café du Dauphin de Thouars, il était environ 11 heures 45, j’aperçois au fond du café une physionomie bien connu Boutet, bien visible, et Guillot, qui me tournait le dos, je me déplace un peu et j’aperçois Suire, avec un gros dossier. L’équipe de malfaiteurs était au rendez-vous. <br /> Suire, un homme honnête qui n’a rien à se reprocher, pourquoi n’est-il pas venu me voir à st-Varent pour me sermonner. Avec ses relations dans la police, demander une enquête pour prouver son innocence.<br /> Suire, pour se protéger, mets tout en œuvre pour me faire passer pour un débile, afin de m’isoler, il est impliqué dans cette affaire. Etre l’ami de Guillot ce n’est pas une référence.<br /> Guillot.<br /> Je le connais bien, je savais qu’il avait une réputation douteuse, qu’il avait été mis à la retraite d’office, du commissariat de Thouars. Je pensais qu’avec le temps, il avait changé.<br /> J’ai rendu de nombreux service à cet individu.<br /> Quand il a divorcé, avec son gendre employé de banque dans le Maine et Loire, nous l’avons aidé à déménager, il avait acheté une maison à Vilgué, près d’Argenton l’Eglise.<br /> Guillot perçoit une retraite incomplète, paye une pension à vie à son ex -épouse, de plus de six mille anciens francs.<br /> Dans cette maison, il a fait faire de nombreux travaux aux noirs.<br /> Son gendre qui était un brave type, c’est pendu, il a été sauvé à temps « réflexion du beau-père dommage qu’il ne soit pas mort. » Depuis il doit être divorcé.<br /> J’ai un point d’interrogation sur cette affaire, il paraît que les banquiers ont un code qui permet d’effacer des données.<br /> Depuis la spoliation de mon héritage, Guillot, a de plus en plus de moyens.<br /> Il a vendu sa maison de Vilgué à des Anglais, pour l’achat d’une maison cossu au 8 rue, Ravel de Thouars.<br /> Fait remplacer toutes les ouvertures, par des portes, des fenêtres en plastique, modifié son entrée de garage, pour pouvoir entrer son camping-car, possèdent plusieurs véhicules, dont une voiture neuve.<br /> Les impôts de Thouars sont beaucoup plus élevés qu’à Vilgué, dans cette commune, il ne s’était pas fait que des amis. Cet individu a un train de vie qui ne correspond pas avec sa retraite. Il va dans des chasses privé etc.…<br /> J’avais parlé de cette spoliation au commandant Casseling, il m’avait dit je m’occupe personnellement de Guillot, connu dans les services de police, individu peu recommandable ami de Suire. « Qui s’assemble se ressemble. »<br /> <br /> Mon voyou de fils qui est au Japon Eric Goguy.<br /> Quand j’ai découvert la vérité, j’ai tout fais pour raisonner ce mauvais fils, qui s’est laissé séduire par une immense fortune. L’affaire pouvait se régler en famille, il n’a rien voulu savoir. C’est lui qui a perçu cet héritage.<br /> C’est un affreux jojo qui était venu me voir en 1999, avec son super avocat, nous avons dînée ensemble au restaurant du Château de Thouars, je suis allé au toilette, il a du en profité pour mettre un produit dans mon verre, quand je suis revenu à table, il me dit ça te ferait plaisir que j’ai une usine en France, je lui dis que oui, me fait signer un document dont il cachait en parti, c’est vraiment un voyou, qui a opérer comme les escrocs cités. Scandaleux !<br /> L’enquête du commandant Casseling suite.<br /> Entre mon voyou de fils, échange d’informations sur Internet, ce n’est vraiment pas très sérieux. Le Consulat ou l’Ambassade du Japon dispose d’agent habilité pour un interrogatoire.<br /> J’ai un courrier du Consul d’Osaka, du 27 août 2001 signé Henri Mahé, qui m’informait de cette possibilité. Voir pièce jointe.<br /> Les échanges d’informations, entre le commissaire, et Eric Goguy.<br /> Le vendredi 11 mars 2005. Bonjours Monsieur Casseling, je vous envoyé donc tous les courriers électroniques que mon père m’a transmis par Internet, il y en a au total 16 pour l’instant. Sachez que je ne lui ai jamais répondu. « Un voleur n’avoue jamais sa faute, c’est bien connu. » Un fils honnête aurait répondu à mon premier courrier. <br /> Le 12 mars 2005. Souhaitant m’assurer que vous avez bien reçu les 16 courriers électroniques que je vous ai envoyés au sujet de « Notre parasite commun. » Pourriez-vous accuser réception des E mails en questions.<br /> Notre parasite commun, ou d’un commun accord Le commandant de police connaît toute l’affaire. <br /> Le mercredi 16 mars 2005. Merci beaucoup pour votre confirmation. J’ose espérer que cette nouvelle procédure mettra enfin un terme aux activités parasitaires de notre individu qui n’ont que trop durées. « Il faut vraiment être impliqué dans une sale affaire, pour écrire des mots aussi abjects. » Je n’ai vraiment pas de cadeau à faire à cette fripouille.<br /> Suite... Toute notre famille souhaite que cela cesse. « C’est normal, ils sont tous impliqué dans cette escroquerie. » <br /> Il est encore temps d’obliger l’animal à se faire soigner avant qu’il ne commette dans un élan de folie un geste irréparable. Ce fils d’animal est vraiment une bête indigne, un malade qui avant d’aller en taule, devrait faire un séjour en psychiatrie, je ne pensais pas avoir un fils aussi détestable, ce maudit qui a causé la ruine de nombreuses familles.<br /> D’une telle enquête les voyous n’ont aucun souci à ce faire. Je suis outré de voir que la justice protège des individus aussi lâches, aussi médiocre, ce ne sont même pas des bêtes ?<br /> J’ai honte d’avoir une famille de dépravé !<br /> Suite de l’enquête Casseling.<br /> Visite dans les mairies, pour une recherche de paternité me concernant, mairie d’Airvault la mention qui était porté sur la reconnaissance de ma mère a été effacé, cette mention me concernait, elle indiquait le registre de ma reconnaissance, ma mère est né en 1912 J’ai la preuve de ce que j’avance. Ma reconnaissance n’a pas été mise à sa place, pour cette raison la mention était portée sur la reconnaissance de ma mère, pour ne pas qu’on la trouve. <br /> Mairie de Thouars rien de particulier.<br /> Tribunal de Bressuire, qui a les doubles des registres de mairies.<br /> Pourquoi je n’ai pas la photocopie, de la reconnaissance de ma mère ? Du tribunal de Bressuire ?<br /> Le commandant Casseling s est rendu chez ma cousine Gisèle. Ma cousine a confirmé mon père était un aviateur Allemand mort pendant la guerre.<br /> <br /> Mon gendre de Sablé-sur-Sarthe, est devenu subitement riche en 1999, cela correspond avec la spoliation d’héritage.<br /> Il c’est offert une bijouterie dans cette ville informatisé le magasin, a un ouvrier horloger, une vendeuse, il est propriétaire d’une maison à la sortie de Sablé, possède plusieurs voitures neuves, il voulait s’acheter un grand terrain à proximité de sa maison pour faire un étang, il avait également l’intention d’acheter un commerce dans une galerie marchande du Mans, je pense qu’il est toujours propriétaire de sa maison de Château Giron.<br /> <br /> Aucune enquête sérieuse n’a été faite.<br /> Auprès des banques, des impôts, sur les personnes mises en causes.<br /> <br /> Le tribunal de Bressuire, est complice, cette escroquerie ne pouvait se réaliser sans le concours de ce tribunal, toutes mes plaintes se retournent contre moi.<br /> <br /> L’on ne me rend pas justice alors, j’ai fait des tracts, et diffusé cette affaire sur Internet.<br /> <br /> J’ai toujours été condamné pour avoir dit la vérité, ce que j’ai confirmé en Cour d’appel de Poitiers, le 4 mai 06, j’ai dis aux juges, que je pouvais prouver, que les individus mis en causes m’avaient drogué, que c’étaient des menteurs.<br /> Je pouvais fournir des documents concernant ma famille Allemande, que l’état civil d’Airvault était falsifié. J’ai une photo de mon père, et ma mère, la signature de mon père.<br /> Suire, et Guillot, c’étaient investi de titre illégalement « personnes dépositaires de l’autorité public. » Punis sévèrement par la loi. Ce qui a été dit par mon avocat.<br /> L’avocate de la défense, une excité, qui n’a jamais fait mentions des faits évoqués, sa seule défense, je suis un fada.<br /> Je n’étais plus dans un tribunal, mais dans un hôpital psychiatrique. Cette agitée, pour protéger les voyous, demande que je passe un examen psy, que je refuse.<br /> « Je m’appelle Suire contrôleur général de la police à la retraite, titulaire de la légion d’honneur « on la donne à n’importe qui » victime de diffamation, je n’ai pas besoin d’un avocat pour défendre ma cause. »<br /> J’ai tous les documents mentionnés dans ce texte, je peux les fournir à qui les demande.<br /> <br /> Les raisons de mon combat.<br /> Le n’aime pas l’injustice, que des individus me droguent pour me voler, que l’on occulte mes racines, que l’on me fasse passer pour un dingue, que l’on falsifie l’état civil, que l’on aient fait disparaître de nombreuses preuves, que l’on corrompe une partie de ma famille, que l’on jette des milliers de personnes à la rue, suite à cette arnaque, que des individus parce qu’ils sont d’anciens flics se permettent de voler sans impunité.<br /> Je demande s’il y a une justice en France, de tout mettre en œuvre pour punir ces coupables. Le mot n’est pas assez fort comme dit Sarkozy ces crapules !<br /> Une affaire aussi grave, doit être examinée avec beaucoup de sérieux, par des spécialistes des fraudes, afin de connaître l’enrichissement des personnes mises en causes.<br /> Qui pour le présent sont protégés par le tribunal de Bressuire impliqué dans cette lamentable affaire.<br /> Cela fait sept ans que je réclame justice, si rien n’est fait, je diffuse sur Internet, la presse, les associations, les tenants et aboutissants de cette affaire. Personne n’accepterait ce que m’ont subi mes tortionnaires, atteinte aux droits de l’homme, à la dignité, à ma santé suite aux produits qu’ils m’ont fait absorber avec lâcheté. <br /> Et l’oppression de mes bourreaux de juges, huissiers, convocations chez les gendarmes, la police etc... <br /> « Il ne faut pas être victime dans ce pays, qui ce dit le pays des droits de l’homme, bafouer journellement par une soi-disant justice ! » <br /> J’ai suffisamment de preuves pour les faire condamner, rien ne bouge, il y a une justice en France … ? <br /> <br /> Le secrétaire national de la fédération.<br /> Jacques Goguy.<br /> <br /> <br /> <br /> Pour plus d’informations sur Internet faire avec google : tabourier notaire – tribunal de bressuire – suire flic – guillot flic – jacques goguy – eric goguy – renault bijoutier – escroquerie cellatex – escroquerie adelshoffen – escroquerie métaleurop – chirac le voleur etc..
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CPE : L'AVIS D'UNE EMPLOYEUR<br /> <br /> Le CPE est une des rare initiative du gouvernement sur l'emploi et la volonté de diminuer le chomage.<br /> <br /> Comme vous l'aurez compris dans la note "Un CPE on à besoin de ça?" je ne suis pas entièrement d'accord sur les principes qui font d'une solution assez imaginative, un Flop social qui peut intervenir à tout moment.<br /> <br /> C'est un peu comme rafistoller son pneu de voiture en y collant une simple rustine. Ca peut lacher à chaque instant. <br /> <br /> J'ai passé moi aussi des périodes de chomage après des fin de contrat CDD ou Intérims, des refus de prêts bancaires pour situations dites "précaire" tant au niveau salaire que sécurité d'emploi.<br /> <br /> J'ai aussi rencontré plusieurs employeurs qui on le regard médisant sur la jeunesse et leurs employés en général. Qui ne savent pas dire merci, ou ne serait-ce que "c'est bien, continuez".<br /> <br /> Aujourd'hui je suis gérant d'une petite société, et lorsque je vois les termes d'un CPE, je me dis que ce n'est pas la vraiment la solution, même si Borloo à essayé de bien faire dans un premier temps.<br /> <br /> Ma réaction personnelle en tant qu'employeur, je l'avoue, et c'est le texte qui y fait penser, que je vais pouvoir me diriger vers des jeunes de qualifications de moins de 26 ans, les former un peu avec un salaire minim au env. de 1000€ net par mois, de percevoir des aides de l'etat pendant 2 ans sur les charges patronales et salariales, et surtout et c'est la le plus vicieux, licencier ces jeunes dès que ma conjoncture m'y incite sans justificatif préalable avec un préavis de formalité de 1 mois (le temps de retrouver quelqu'un d'autre..).<br /> <br /> C'est très alléchant. <br /> <br /> C'est pourquoi, je pense qu'effectivement le nombre de chomeurs va diminuer pendant quelques temps car ces conditions particulières avantagerons et interesseront tout les indécis de l'embauche.<br /> <br /> Le risque à très court terme, c'est la disparition des propositions de CDI chez les jeunes de moins de 26 ans, et cela doit etre bien clair. <br /> <br /> Pourquoi irais-je proposer un CDI alors qu'on me propose un contrat "sans engagement" et fournit en plus avec des aides financières non négligeables.<br /> <br /> Je vais pouvoir ainsi "tester" les compétences et les caractères de nombreux candidats pendant des durées de 24 mois, et renouveller mon "parc" lorsque j'en ai envie en licenciant avec des périodes de préavis de 1 mois sans justificatifs imposés.<br /> <br /> Mon sentiment profond, c'est qu'on me donne le baton pour taper.<br /> <br /> Autre critère : pourquoi irais-je chercher à recruter maintenant des jeunes de plus de 26 ans ? Ils deviennent fiscalement et flexiblement moins intéressants !!<br /> <br /> <br /> Le chomage va baisser quelques temps, mais les conseillés de l'ANPE retrouveront des milliers de jeunes à qui ont à promis espoir et qui reviendront le regard vide d'imcompréhesion.<br /> <br /> Les entrepreneurs seront encore bien plus qu'exigeant, et se sentiront "tout permis".<br /> <br /> Je regrette que le gouvernement n'est pas penser un peu plus à la sécurité de l'emploi, de la conscience et de la pérénnité.<br /> <br /> J'aurai souhaité avoir la possiblité d'embaucher des jeunes avec ces mêmes aides financières (diminutions des charges sociales) tout en leur promettant un CDI après une prériode d'essai maximale de 6 mois dans le cadre de ce contrat. Et pourquoi un avantage exonération si l'employé est toujours chez moi dans les 3 à 5 ans. Cela permettrait d'engager la responsabilité et la durée entre les deux parties.<br /> <br /> Bien sur, et vous le comprendrez, chez moi les jeunes seront prix pour leurs mentalités, leurs ambitions et leurs savoirs vivres. J'ai beaucoup de compréhension et j'aime l'idée que notre jeunesse puisse s'en sortir individuellement, et cela de quelques origines communautaires qu'il soit.<br /> <br /> Mais svp, tous mes confrères ne sont pas comme moi, faites attention à ne pas les pousser à l'intolérence et à l'impunité avec vos quelques lignes de lois sur la période d'essai.<br /> <br /> Je suis d'accord sur le fond du CPE mais pas sur sa forme.<br /> <br /> Un peu de dialogue et de compéhension devrait améliorer les ententes mutuelles et l'avancé des progrets de notre France.<br /> <br /> A bon entendant<br /> <br /> <br /> Xpmb.
G
Bravo pour le contenu de ce blog et merci pour ta participation a mon Blog/Forum<br /> Cordialement
L
Un premier jugement sur la rupture d'un CNE pendant la période d'essai a donné raison au salarié et condamné la société qui l'employait à 8220€ de dommages. Espérons que les prochaines décisions aillent dans le même sens. Ca pourrait alors être un frein pour les entreprises qui privilégient ce type de contrat. <br /> Le "succés" du CNE ce n'est pas d'avoir créer de nouveaux emplois (29% des patrons qui y ont eu recours n'aurait pas embaucher s'il n'avait pas existé) mais plutot d'avoir fait baisser le nombre de CDI classiques (qui auraient été conclus si le CNE n'avait pas existé).<br /> Tenir et Résister
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