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Le blog politique
5 novembre 2006

Ségolène Royal et le jury populaire du Zénith...

    " Une épreuve "...Terrible aveu de Ségolène Royal après le meeting mouvementé du Zénith...En baisse sensible dans les sondages,la compagne de François Hollande perd de sa superbe...Mais elle s'imagine quoi Ségo ?.La politique,ce n'est pas Alice au Pays des merveilles !,et pas davantage le visage désincarné d'une pseudo démocratie participative...La politique,c'est la passion,le débat contradictoire,des hommes et des femmes de chair et de sang,prêts à ruer dans les brancards pour défendre leur champion...La politique,c'est le combat ,à mille lieues des discussions feutrées du site Désirs d'Avenir...Bref,la politique,c'est la vie !.

    Au Zénith (si j'ose dire...) dans les enquêtes d'opinion,la Dame du Poitou ne peut que baisser...En outre,on entre véritablement dans la campagne électorale !.Les chiffres commencent à traduire des intentions de vote,plus que des cotes de popularité !.Enfin,l'heure de vérité approche !.Les gens réfléchissent !.Fini les regards amusés devant Ségolène en bikini ou se déhanchant avec Jamel Debbouze...

    Passé le numéro de charme,deux questions hantent les nuits du militant socialiste : Madame Royal a t-elle l'étoffe d'un Chef d'Etat et peut-elle faire gagner la Gauche ?.Permettez-moi d'en douter...Elle n'a pas la carrure ni le niveau pour accéder à la magistrature suprême !.Le poids des cartables à l'école ou la violence à la télévision intéressent certes les mères de famille,mais c'est un peu court pour prétendre à de plus hautes fonctions...D'ailleurs,quand on l'interroge sur les grands sujets,elle reste muette !.L'entrée de la Turquie dans l'Europe ? : "Mon choix sera celui des français ".Vous imaginez le général de Gaulle s'abstenir de toute opinion à la veille d'un référendum ?...

    Ces dérobades à répétition cachent forcément quelque chose...Evidemment,à en croire ses amis,Ségolène Royal pratiquerait " la politique autrement " ,plus en phase avec les citoyens...Balivernes !.

    Par ailleurs,la Zapatera se pose toujours en victime et se donne une image de "faible femme ",entourée par des méchants machos...Le comble du ridicule !.Depuis un an,les Médias n'arrêtent pas de lui dresser des louanges !.Et puis,au cours de sa longue carrière,elle a écrasé plus d'un homme...Tous ceux qui connaîssent la vraie Ségolène (pas celle des magazines people...) vous diront qu'elle ressemble plus à Cruella (genre dominatrice maniant le fouet...) qu'à Blanche Neige !...

    Il ne reste plus beaucoup de temps pour barrer la route à la Madone...Je vois mal Dominique Strauss-Kahn rattrapper son retard d'ici le 16 Novembre...Pourtant,avec ces primaires,DSK a pris une nouvelle dimension !.A ma grande surprise...Son positionnement social-démocrate (le changement sans la démagogie ) me plaît beaucoup...Ses compétences en économie seraient très utiles à la France...A l'inverse,Laurent Fabius m'a déçu !.Il penche vraiment trop à Gauche !(généraliser les 35 heures,une belle connerie ! et quel aveuglement par rapport aux ouvriers ! ).

    Chers militants socialistes,réfléchissez-bien avant de choisir votre candidat !.Ségolène Royal se moque de vos valeurs,n'aime pas les débats publics animés,multiplie les slogans vides de sens pour mieux cacher ses faiblesses intellectuelles et c'est cette femme...de Droite ! que vous allez investir pour affronter Nicolas Sarkozy ?...Le Ministre de l'Intérieur ne lui fera aucun cadeau...Quand je vois qu'elle péte les plombs face à Nolwenn,une gamine,je crains le pire !...

    Le 16 Novembre,votez Strauss-Kahn !

Je vous recommande vivement la lecture du pamphlet anti-Ségolène : "La prétendante " de Cassandre (Edition Philippe Rey ).

Prochaine chronique :13 Novembre !

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Commentaires
O
Bonjour,<br /> <br /> Interessé par votre blog, je me permets de vous proposer un échange de liens avec le mien, Dialogue Citoyen.<br /> <br /> Il s'agit d'un travail collectif, de la mise en place d'un réel Dialogue Citoyen, un espace ouvert à toutes les idées, argumentations et réfutations qui mènent à une réflexion commune.<br /> <br /> La réponse aux messages est une synthèse élaborée à partir de la réflexion d'un ensemble de personnes engagées dans cette initiative.<br /> <br /> Avant publication, le Comité de rédaction de notre site, composé d’une dizaine de personnes, donne son accord pour la Réponse-Synthèse.<br /> <br /> J'attends donc votre réponse.<br /> <br /> Cordialement.<br /> <br /> Jean-Paul OZANON
J
Il est le fils d'un immigré hongrois, Pal Sarkozy de Nagybocsa (en hongrois nagybocsai Sarkozy Pál[3]) né à Budapest, en 1928, dans une famille de l'aristocratie hongroise, possédant des terres et un château à Alattyán et un domaine comportant 200 paysans, à 100 km de la capitale. Les armoiries de famille sont « un loup orné d’un cimeterre ». À l'arrivée de l'Armée rouge en 1944, la famille est contrainte à l'exil. Après de nombreuses péripéties à travers l'Autriche et l'Allemagne, Pal Sarkozy rencontre un recruteur de la Légion étrangère à Baden-Baden. Il signe pour cinq ans et fait ses classes en Algérie à Sidi-Bel-Abbès. Il est cependant déclaré inapte au départ en Indochine, puis démobilisé à Marseille en 1948. Son nom est alors francisé en Paul Sarkozy de Nagy-Bocsa. Devenu publicitaire, il rencontre en 1949 Andrée Mallah, qu'il épouse. Cette dernière, fille d'un médecin du XVIIe arrondissement de Paris, juif séfarade de Salonique, est alors étudiante en droit.<br /> <br /> Il redouble sa sixième au lycée public Chaptal. Ce passage du privé au public ne dure qu'une année scolaire ; il est ensuite élève au lycée privé Saint-Louis de Monceau. Il obtient le baccalauréat B en 1973 sans mention et la famille s'installe à Neuilly.<br /> <br /> Nicolas Sarkozy paie l'Impôt de solidarité sur la fortune (ISF). Il possédait un patrimoine de 1,137 million d'euros au 1er janvier 2006[5] et s'est acquitté d'une somme de 1988 euros à ce titre.<br /> <br /> Le 23 septembre 1982, il épouse Marie-Dominique Culioli, fille d'un pharmacien corse de Vico (village d'un millier d'habitants au nord d'Ajaccio) dont il a deux fils, Pierre (né en 1985) et Jean (né en 1987). Son témoin de mariage est Charles Pasqua.<br /> <br /> Il est chargé de mission en 1987 pour la lutte contre les risques chimiques et radiologiques au sein du ministère de l'Intérieur. De fait, il est le conseiller en communication du gouvernement à l'époque de l'accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl.<br /> <br /> Sa politique en Corse est marquée par le rejet de la proposition de réorganisation administrative pour laquelle Nicolas Sarkozy s'était engagé, suite au référendum local en date du 6 juillet 2003.<br /> <br /> Dans son livre La République, les religions, l'espérance il parle de la reconnaissance des « nouveaux mouvements spirituels », expression commune à de nombreux groupes. La représentante en France de la scientologie affirme avoir bénéficié d'une certaine clémence depuis l'arrivée du ministre de l'intérieur.<br /> <br /> Dans un entretien accordé au Figaro du 11 décembre 1998, M. Sarkozy indique : « Si des électeurs ou des militants du FN souhaitent se détourner de cette formation pour nous rejoindre, nous les accepterons. Je parle des militants et sympathisants. Pour le reste, nous verrons l'évolution des choses. L'opposition doit poursuivre son travail de reconquête, loin de ce qui se passe au FN, qui est une caricature de démocratie. » Le 8 mars 2004, il déclare à Orange : « Les électeurs de droite me font confiance, aussi suis-je peut-être bien placé pour ramener dans le giron de la droite républicaine ceux du FN. » Il ajoute qu'il faut tendre la main « à ceux qui votent ainsi parce qu'ils souffrent ». La droite, selon lui, « a besoin de ces gens qui se sont abusés. Il n'y a qu'une stratégie gagnante : agir pour faire comprendre que la République a entendu la désespérance et y apporte une réponse concrète[25]. » Le 22 avril, à Paris, le président de l'UMP s'adresse explicitement aux électeurs du FN, et déclare qu'il veut « les chercher un par un[26] ».<br /> <br /> Lors d'un trajet à Aurillac, Nicolas Sarkozy répond devant des journalistes « Je ne vise pas l'électorat du FN, je l'ai déjà. De toute façon, les journalistes se sont toujours trompés dans leur analyse politique.[27] ». Ainsi, en janvier 2006, l'association Act Up publie des affiches comportant la photographie de Nicolas Sarkozy et le slogan « Votez Le Pen ». Les affiches sont rapidement retirées sous la pression d'un cabinet d'avocats agissant au nom du photographe détenteur des droits sur la photographie, et dont le travail avait été utilisé sans autorisation.<br /> <br /> Le nom de Nicolas Sarkozy apparait indirectement sur les listings truqués de la société Clearstream. Par le biais de son avocat Thierry Herzog, il se porte partie civile dans cette affaire le 31 janvier 2006, relançant ainsi une affaire alors assoupie, relance à l'origine d'une importante crise politique en avril-mai 2006. Selon le corbeau, le ministre de l'Intérieur aurait disposé de deux comptes dans une banque milanaise, la Banca popolare di Sondrio, déguisés sous des noms tirés de son identité complète, rappelant ses origines hongroises : Nicolas Paul Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa. Par-là, le corbeau sous-entendait que les personnes citées par le courrier, y compris Sarkozy, auraient touché des pots-de-vin dans l'affaire des frégates de Taïwan.<br /> <br /> Le mot « racaille »<br /> <br /> Le 26 octobre 2005, les journaux télévisés diffusent un segment sur la visite de Nicolas Sarkozy, à 22 heures, dans un quartier défavorisé d'Argenteuil. La relation avec la population est décrite comme houleuse (avec notamment des jets de pierre) et les images le montrent disant « Vous en avez assez, hein, vous avez assez de cette bande de racailles ? Eh bien on va vous en débarrasser[57] ». L'usage du mot « racaille » par le ministre sera à l'origine d'une importante polémique dans la presse et suscitera l'hostilité de certains jeunes issus de quartiers « sensibles ».<br /> <br /> L'émission Arrêt sur images du 6 novembre 2005 reviendra sur la façon dont cette visite a été présentée[58], et révèlera d'une part que l'accueil fait à Nicolas Sarkozy s'est déroulé paisiblement et dans le dialogue avec la population et d'autre part qu'il n'avait en fait pas utilisé le mot « racaille » spontanément mais pour répondre à une habitante lui demandant « quand nous débarrassez-vous de cette racaille ? ». Selon Françoise Laborde, présentatrice du journal de France 2 et invitée de l'émission, l'explication de ce traitement médiatique est, d'une part la tentation d'aller au sensationnel, d'autre part un possible parti-pris des journalistes contre Nicolas Sarkozy.<br /> <br /> Finalement:<br /> <br /> Le prix Iznogoud récompense « une personnalité qui a tenté de devenir calife à la place du calife, s’est vantée et a lamentablement échoué dans son entreprise ».<br /> <br /> Lauréat : 1999 : Nicolas Sarkozy, à l'occasion de son échec aux européennes
L
Jurys populaires et démocratie participative<br /> <br /> Il est important de clarifier le concept de "démocratie participative" car aujourd'hui on dit tout et son contraire à ce propos, c'est un peu l'auberge espagnole. <br /> <br /> <br /> Première remarque, il ne devrait pas être nécessaire d'employer ce terme de "démocratie participative" car la démocratie est par essence participative. Il s'agit donc, du point de vue purement linguistique, d'un pléonasme. <br /> <br /> <br /> Cependant sur le plan politique, ce concept répond à une nécessité profonde de changer le rapport des citoyens à la politique telle qu'ils la vivent aujourd'hui.<br /> <br /> <br /> C'est bien parce que les citoyens sont la plupart du temps exclus des décisions politiques, ou qu'ils ne sont que rarement consultés sauf lors des élections, qu'il y a un sentiment général d'un manque démocratique, d'un défaut de démocratie.<br /> <br /> En effet, dans cette société les gens sont davantage considérés comme des consommateurs que des citoyens. Et quand ils ne peuvent pas consommer, ils ne sont pas considérés du tout, ils n'ont presque pas de droits tout simplement parce qu'ils n'ont pas ou peu d'argent et/ou qu'ils n'ont pas d'emploi (droit à la santé, droit de se loger, droit de se déplacer, droit de travailler, droit de s'alimenter, droit de s'éduquer etc...autant de droits qui deviennent payants ou qui sont de plus en plus chers dans une société capitaliste). Sur les lieux du pouvoir ou du travail, les gens ne sont pas ou très peu consultés et quand ils le sont c'est extrêmement cadré et canalisé, seulement sur certains sujets qui ne sont pas choisis par les gens eux-mêmes mais par les dirigeants ou les décideurs.<br /> <br /> Pour moi mais aussi pour beaucoup de gens de gauche la démocratie participative, c'est surtout l'action pour créer des moyens, voir des institutions qui permettent aux gens de maîtriser de A à Z un processus de décision, d'y être associés, d'y collaborer, voire de le créer.<br /> <br /> Je suis contre les jurys populaires. Car cette conception signifie, qu'il y aurait d'un côté les élus et de l'autre les citoyens. Avec les jurys populaires, les élus seraient des spécialistes de la politique, ils entreprendraient à eux seuls la politique et les citoyens seraient là pour sanctionner seulement ! Ce serait aller encore plus dans le sens de la spécialisation de la politique par une minorité d'initiés, de sa professionnalisation alors qu'il faut qu'elle devienne une pratique sociale généralisée ouverte à tous les citoyens. <br /> <br /> <br /> Mme Royal propose en fait de poursuivre ce qui existe déjà en donnant aux citoyens un rôle de sanction mais non de réelle participation. Un jury qui sanctionnerait serait encore plus restreint que ce qui existe déjà avec le suffrage universel. Le suffrage universel est la sanction républicaine du jury populaire qu'est le peuple à l'échelle de la nation. Mme Royal n'invente rien. Quant à la suggestion de filmer les débats on reste encore dans le spectacle, le citoyen n'étant pas acteur mais encore et toujours spectateur.<br /> <br /> Il faut que les élus rendent compte de leur action tout au long de leur mandat , et pas seulement à son terme, et associent les citoyens au processus qui conduit les élus jusqu'à la décision par le vote de l'instance élue. Par exemple que font les maires pour que sur chaque dossier concernant leur ville les citoyens concernés puissent travailler ensemble et avec les élus pour élaborer la décision qui sera prise au conseil municipal. Même question pour les autres niveaux comme le département, la région, la nation, l'Europe.<br /> <br /> Il s'agit donc de créer de nouvelles institutions qui permettent aux citoyens de participer pour aider les élus à prendre des décisions qui vont dans le sens de l'intérêt général. Il s'agit pour les responsables politiques d'accepter d'être remis en cause, de favoriser la rencontre et le travail des citoyens pour qu'un dossier puisse être enrichi de leurs apports. Bien des lois pourraient être plus justes et correspondre davantage à l'attente des gens si les députés dans chacune de leur circonscription invitaient les citoyens à élaborer les textes avec eux. Autrement dit la démocratie représentative doit être revivifiée par la démocratie participative. <br /> <br /> Mais pour cela il faut dégager des moyens financiers pour créer des institutions de base permettant aux citoyens d'intervenir, de participer aux réunions et de se former. Il faut qu'à l'entreprise, les chefs d'entreprises changent de culture et voient dans la citoyenneté des salariés un atout pour l'économie, un plus pour l'intelligence collective et pour l'entreprise elle même, une richesse par l'élévation du niveau de connaissances des travailleurs. Comme il faut aussi créer un véritable statut de l'élu qui permette aux élus qui travaillent, qui sont salariés, de se libérer pour participer aux réunions et pour se former également<br /> <br /> Car il faut non seulement pouvoir avoir du temps pour aller aux réunions mais aussi il est nécessaire pour chaque citoyen de pouvoir se former à intervenir, à présenter ses propositions ou celles d'un collectif, à argumenter, à améliorer ses connaissances d'un sujet utile à la collectivité. <br /> <br /> La démocratie c'est aussi éviter que ce soient les "beaux parleurs" qui dirigent toujours les débats mais que la parole des gens soit valorisée et prise en compte par des méthodes qui incitent au partage d'idées et à leur formulation par exemple par la pratique du compte-rendu. C'est aussi la pratique de l'évaluation des décisions publiques par la présentation par les élus des difficultés qui sont rencontrées afin de rechercher des solutions avec les citoyens concernés.<br /> <br /> En fait c'est l'organisation, l'institutionnalisation d'un véritable partage des pouvoirs et des savoirs par le plus grand nombre et sans discrimination de quelque nature que ce soit soit qui fonde une véritable démocratie. Et c'est l'exigence incontournable de notre époque à tous les niveaux et dans toutes les sphères de la société.
S
>> Et, enfin, je suis d'accord avec toi : son numéro de pauvre femme perdue dans un monde de machos, ça va 5 minutes !<br /> <br /> C'est marrant ca, ce sont les médias qui martellent ca. Elle n'a jamais joué la dessus... Elle a elle même dit qu'elle n'avait pas besoins de jouer avec ca tant la presse s'en était déjà chargé.<br /> <br /> Arrêté d'être des moutons... Réfléchissez à ce que vous entendez. Les journalistes ne sont pas des sources fiables, ils sont souvent influencé par leur propre tendance politique.
S
>> c'est par la formation dans les Entreprises et l'innovation qu'on la réduit. Dramatique et affligeant !!! Quid de la réduction du train de vie de l'Etat?<br /> <br /> Pourtant, il y a du fond dans tout ceci. Mme Royal dit qu'une des priorités doit etre l'éducation pour éviter ce qui se passe depuis plus de 20ans... A savoir que l'éducation nationnal est devenu une file d'attente avant de pointer au ASSEDIC.<br /> <br /> Si on améliore/refond le système est que plus de jeune se forment en entreprise, les entreprises auront peut être moins de problème a recruter pour certains postes qui restent toujours à pourvoir. Réduire la dette passe aussi par la réduction du chaumage. Moins de RMI / indemnité chaumage et plus de cotisation.<br /> <br /> Il n'y a rien à voir pour ceux qui ne veulent rien voir.
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